Hugues Corriveau parle de François Guerrette dans le Devoir, section Vitrine du livre.
«Poésie obstinée que celle de François Guerrette qui, à la manière d’un Renaud Longchamps, fouit et creuse un sillon assez béant pour y semer à la fois un désespoir ontologique frigorifiant et une détermination à vivre dans les confins»
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